Voyez, comme « faire le pied de grue » n’est ni une vue de l’esprit, ni une image d’Épinal – vous noterez le jeu de mots ! Ce fut lors d’un commencement matinal de mars, quelques minutes préalables et suffisantes à regagner son lointain : distance existante entre un quartier de Saint-Amand, jusqu’à Virlay.
De près comme beaucoup plus éloignée, quelle est belle, la race bovine Charolaise ! Cela, depuis la campagne berrichonne, délimitée par les rivières, les bouchures – haies du Berry.
De générations d’éleveurs, il se perpétue la valorisation d’un élevage bovin des vaches blanches, via patrimoine de ruralité 100 % nature. Après vous avoir proposé un focus sur portrait de ruminantes toutes confondues, présentement, une suite plus élargie cette fois, peut-être plus singulière aussi, laquelle m’amène à rédiger l’histoire de la race, au gré de mes escapades et mes rencontres.
Météo et paysages changent à loisir sur mes focus ! De fait, les rencontres faites sont chaque fois différenciées, renouvelées lors d’un temporel. Plus ou moins éloignée de mon lieu de résidence, je me délecte de ces moments de retour à la source, de mes escapades campagnardes par lesquelles j’affectionne tout particulièrement de m’immerger. Récemment, lors d’un commentaire, un sympathique ami internaute écrivait « tu es une fille de la campagne » … Je pense qu’il a raison. J’en ai du moins les réminiscences, ayant vécue plusieurs années d’adolescence en campagne berrichonne : celle de l’Indre d’abord, puis celle du Cher. Aussi parce que… 😉 Non, je n’en dis pas davantage !
Avec opiniâtreté, année après année, les éleveurs de la race Charolaise continuent à développer et améliorer ce patrimoine. On peut vraiment évoquer un « Patrimoine », tant il est vrai que la nature à singulariser celui-ci. En touts les cas, des éleveurs, les charolaises sont les charolaises sont considérées leurs meilleurs animaux, dont ils en évaluent immédiatement le potentiel.
Peut-être avez-vous dans votre campagne de tels paysages, plus ou moins habituels, familiers ? Dimanche 24 octobre, il fit si beau dans la campagne Saint-Amandoise, ce fut une belle sortie sur focus logiques et raisonnés. Je vous partage avec plaisir ceux -ci. Belle semaine !
La biodiversité d’un jardin : pour un choix responsable et accueillant Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ
J’ouvre mes ailes… Depuis des Lunes, probablement même depuis toujours, je m’intéresse voire me passionne à l’univers des papillons (« en vrai » comme disent les enfants, ainsi que sur de jolis objets, des gravures, timbres, livres, vêtements…). J’en ai d’abord rencontré de nombreux au cour des mes randos, que je vous partage depuis 2011 déjà, bien avant la naissance de ce site. Tout papillon m’évoque instantanément le symbolisme d’une grâce aérienne, la transformation, le changement au fil des saisons. C’est d’ailleurs ce changement qui donne leurs ailes aux papillons et j’en suis fan.
C’est le moment de vérité ! L’arbre est typique de la nature, même une fois scié (bien davantage par nécessité, besoin que par envie). Pour faire un loto nature, une option… j’ai trouvé un instant de découverte pour ramener cette photo de campagne en retrait de Châteaumeillant.
Le bonheur est dans le pré, c’est sûr ! Après une petite série qui nous a fait joyeusement partager de sympathiques ruminantes depuis les pâturages (en arrivent d’autres à connecter), faisons cette petite pause apaisante près de l’âne, qui n’est pas le Grand Noir du Berry mais qui sent bon la campagne berrichonne.
La plume de l’oiseau s’est envolée dans les airs, avant de reposer sur terre. Presque ton sur ton (champagne et blanc) au sol sur lequel elle se trouvait, que je ramassa et ramenait de la randonnée.
J’ai photographié les ruminantes ci-dessus depuis le lieu-dit « Les chapelles » jouxtant la commune de Saint-Amand-Montrond. De très bonne heure le matin, partie pour rouler des kilomètres plus loin, à vélo. J’allais à Blet et plus loin encore. La campagne fut à portée de zooms plaisirs tout au long de la journée. Non loin d’ici est une ferme, et pour y être passé devant à plusieurs reprises, je pense que les berrichonnes en sont issues.
Par après bien d’autres suivirent pour vous rédiger un de ces beaux articles sur BACDF.