Faisant suite à une longue contemplation des deux façades extérieures, d’abord par le parvis nord, puis en dirigeant mes observations vers le chevet depuis les jardins de l’Archevêché, me voici à l’intérieur, commençant, avec toute la patience requise, la visite. Tant de choses à parcourir ! Certains d’entre nous y reviendrons, avec leurs souvenirs allant avec. Il peut parfois être difficile de conseiller un sens de visite, selon que l’on se présente devant la façade occidentale ou à son opposé. D’ores et déjà, bonne visite !
Je suis arrivée par la nef centrale. Pour ne pas trop surcharger la page, je vous propose de (re) découvrir l’un de mes nombreux parcours de visite via des photos légendées. Mais aussi de parcourir quelques-unes des anecdotes sur la cathédrale de Bourges.
Après avoir souligner à nouveau que la cathédrale actuelle a été érigée sur une cathédrale moins vaste que celle-ci et romane, l’histoire de la merveilleuse architecture céleste nous enseigne quant à un édifice dépourvu de transept, ses 5 nefs dont chacune répond aux 5 portails, une voûte sexpartite s’élevant jusqu’à 36 m sous clé.

Certes, St-Étienne de Bourges n’est pas la plus haute, elle est toutefois, par ses dimensions, un édifice exemplaire, accompagné de particularités propres émouvoir et susciter tout l’intérêt de ses visiteurs. Si vous arrivez par le portail occidental, marquez un arrêt sous les grandes orges.
Dimensions : 120 m de l – 40,86 m d larg. intérieur et 37 m de haut. Puis l’élévation des piliers : 17 m de haut, pour 1 m 40 de diam. que l’on doit au Maître de Bourges, architecte resté inconnu.


Nef centrale : outre 4 autres









