Dame Météo ? Le cours des actualités de l’instant ?
Suspens !
Bonjour à toutes et à tous,
Heureuse, suis-je, de vous retrouver via ce nouvel édito de Mai. Une phase toute printanière selon la tradition, laquelle devrait se partager sous ses meilleurs augures, à en suivre nos anciens qui savaient reconnaître le moindre indice introspecté par dame Nature. Et quand bien même il aurait besoin d’eau, j’espère bien qu’en ce traditionnel Mai joli, le ciel se refusera un maximum à pleurer. Bon, nous allons voir.
C’est vrai que nous pouvons avoir encore à l’esprit ces beaux dimanches embaumés par les effluves du lilas ou des délicates clochettes blanches immaculées, parfois tout juste écloses et que nous allions alors cueillir en sous-bois, au vu de l’espoir d’en ramener un généreux bouquet, au gré d’une escapade printanière, et qu’à aucun prix, nous n’aurions voulu occulter. Le muguet reste quand même le symbole – par excellence – du Ier Mai. Le petit brin tant recherché, devenu aussi précieux que LE porte-bonheur lui même.
Et vous amis et amies,
irez-vous chercher le muguet ?
De la vie du site
Pour la plupart d’entre eux, entre les immanquables ici mis à jour et les nouveaux articles publiés en avril, je reconnais avoir été moins présente sur le site, que je le voulais en vérité. Tes-tu déjà retrouvé(e) dans cette même situation avec ton blog ?
Pourtant, ce mois d’avril, avec plus de transparence et de partages, je me suis rapprochée davantage de la communauté Facebook. Et ce, tant depuis les publications d’autrui, que par résonance à la page de Berry Au Cœur de France versus site. Si vous avez navigué quelques minutes sur cet entre-deux, vous y aurez alors probablement parcouru quelques lectures générées par la passion de tel et tel sujet, et quelques autres annonces à caractère culturel. Avec le retour de mai, là-bas à la communauté, éclosent allègrement déjà toutes sortes de propositions invitantes donnant cœur à chausser les joggings, planifier de prochaines sorties entre amis, venir parcourir un musée, participer à un vernissage (six reçus directement dans ma bal en cette fin avril). Mon Dieu ! J’aimerais tellement avoir le temps, sans culpabiliser d’assister à un, au moins.