On sonnait d’abord les « jointes », ensuite la famille envoyait dans chaque maison une femme d’un certain âge qui annonçait le décès et l’heure des obsèques. Elle disait : » je viens prier pour untel qui sera enterré le … à telle heure ».
Suivant la bourse du défunt, la cérémonie durait plus ou moins longtemps car il y avait 3 catégories, comme dans le train. A la fin des enterrements des plus riches, le pain bénit était distribué à chaque participant, si bien que les enfants restés à la maison attendaient ce morceau d’épaisse galette en toute innocence. En ces temps reculés, les gâteries ne couraient pas les rues.
Lire la suite Les enterrements jadis