De près comme beaucoup plus éloignée, quelle est belle, la race bovine Charolaise ! Cela, depuis la campagne berrichonne, délimitée par les rivières, les bouchures – haies du Berry.

De générations d’éleveurs, il se perpétue la valorisation d’un élevage bovin des vaches blanches, via patrimoine de ruralité 100 % nature. Après vous avoir proposé un focus sur portrait de ruminantes toutes confondues, présentement, une suite plus élargie cette fois, peut-être plus singulière aussi, laquelle m’amène à rédiger l’histoire de la race, au gré de mes escapades et mes rencontres.

Météo et paysages changent à loisir sur mes focus ! De fait, les rencontres faites sont chaque fois différenciées, renouvelées lors d’un temporel. Plus ou moins éloignée de mon lieu de résidence, je me délecte de ces moments de retour à la source, de mes escapades campagnardes par lesquelles j’affectionne tout particulièrement de m’immerger.
Récemment, lors d’un commentaire, un sympathique ami internaute écrivait « tu es une fille de la campagne » … Je pense qu’il a raison. J’en ai du moins les réminiscences, ayant vécue plusieurs années d’adolescence en campagne berrichonne : celle de l’Indre d’abord, puis celle du Cher. Aussi parce que… 😉 Non, je n’en dis pas davantage !

Avec opiniâtreté, année après année, les éleveurs de la race Charolaise continuent à développer et améliorer ce patrimoine. On peut vraiment évoquer un « Patrimoine », tant il est vrai que la nature à singulariser celui-ci. En touts les cas, des éleveurs, les charolaises sont les charolaises sont considérées leurs meilleurs animaux, dont ils en évaluent immédiatement le potentiel.


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