Bienvenue au
Petit peuple à plumes !

Zooms plaisir & Descriptions Mangeoires Bains d’oiseaux

Ou la vie rêvée des pigeonniers
Pigeon et colombe appartiennent tous les deux à la même famille des « colombidae« , la colombe serait la version blanche et plus petite du pigeon. De fait, pigeonnier et colombier sont synonymes, utilisés l’un pour l’autre.

Pigeons Ramiers


Sur le cerisier : notez la tache blanche sur le cou

Tourterelle Turque

Ce n’est pas celle que je ramenais d’un séjour, elle se nomme ainsi, car originaire de la latitude Turque, des Balkans. Reconnaissable par son demi-collier noir, elle ne se conditionne pas seulement aux attraits d’un potager (attirée par les graines cultivée), on la trouve aussi à son aise dans les parcs des villes.

Plutôt rondouillard, toujours à l’affut, discernant le moindre mouvement alentour ! Partiellement migrateur vers les régions du pourtour méditerranéen, le rouge-gorge reste en réalité plus souvent sur place dans la majorité des régions françaises ou l’hiver n’y est pas trop rude. Il est quasiment dans presque tous les jardins, commun à ceux-ci, dirais-je. Il défend avec acharnement le territoire qu’il s’est trouvé, c’est de fait pour cela qu’il est rare d’en voir plusieurs en même temps (sauf en période de reproduction).

Cherchant sa nourriture au sol en sautillant par mouvements saccadés, il ne se risque pas aux mangeoires du jardin, je le vois chercher sa nourriture, qu’il repère aussi, voltant sous les feuillages. Il est très utile au jardin, pour éliminer les parasites du sol, que d’aitres oiseaux ne chassent pas à ces endroits. Il s’invite de lui-même au jardin et aux alentours de la maison pendant l’hiver, mais là encore, choisira ces lieux par préférence : une haie bien touffue, composée d’espèce arbustive caduque et persistante, ce qui constitue pour un un bon endroit où il peut passer la nuit, se chercher des insectes et… se cacher aussi.

Des branches de faibles hauteur à côté de la pelouse, lui permette de se percher rapidement, à l’écart, quant on le dérange. Sa nourriture favorite, ce sont les vers de farine, il dore ! Ainsi que des petits graines, des petits bouts de gras.

Heureusement ! Malgré ses moult essais sur les planches des fraisiers, le merle fait entendre son chant mélodieux (et des petits cris d’alerte). Avec son plumage noir et brillant, le mâle se repère de suite, lorsqu’il sautille au sol, ou bien volette d’arbres en arbustes dans mon jardin. Il chante de façon mélodieuse fréquemment dans la journée, et se fait entendre le soir, pour annoncer la nuit… De fait, c’est un excellent réveil pour les auxiliaires environnants, perdus dans les horaires d’hiver ou d’été. C’est aussi un réveil à la maison, car eh horaire d’été, tant que je n’entends pas le merle, il n’est pas encore 6 heures sonnées.

Sinon, il passe ses entières journées à chercher pitance au jardin, de la nourriture au potager, et extirper les vers dans le gazon au jardin loisir. Il est très zélé pour ce type d’exercice ! Il est en fait omnivore, mangeant aussi bien des insectes, que des vers, des larves, des graines voire fruits.

La femelle construit un nid avec des matériaux apportés par le mâle, et y pend 3 à 6 œufs. Les petits sont nourris par els deux parents, pendant un mois. Ce que je remarque par les incessants allers et retours. Les chats et les corbeaux sont ses principaux ennemis, ainsi que les pies qui peuvent détruire les nids.

Comment l’accueillir ?

En été, leur régime est plus diversifié, mais elles continuent à ingurgiter qui se trouvent sur leur passage. Je remarque que la mésange bleue reste sur les hautes branches, alors que la charbonnière se nourrit plutôt sur les branches basses et à terre (ci-dessus), où elle prélève larves et chenilles. Généralement, les mésanges adorent nicher dans les trous des vieux murs et des arbres, mais ici, elles se sont tout-à-fait adaptées aux divers nichoirs que j’ai mis à leur disposition et qui doivent bien correspondre leur correspondre.

Les haies de cyprès du fond du jardin, le tilleul, elles adorent, elles y trouvent le gîte en plus du couvert 😉

Je cultive des tournesols à leu intention, car elles adorent les graines de ceux-ci. Chaque année, le Soleil est de fait sur ma liste des semis printaniers – qui plus est Bio. Je leur prépare également à l’entrée de l’automne et en hiver de bons p’tits plats de céréales, d’oléagineux, telles cachuettes écrasées, noix, noisettes) des petits morceaux de fruits, petits bouts de gras de jambon, de quoi s’abreuver (ne pas oublier) etc. Puis, je n’oublie pas de nettoyer régulièrement les mangeoires.

Tout n’est pas mort, non ! Cela me réjouie, que des aériennes comme celle ci-dessous, se posent sur le saule pleureur qui a rendu l’âme dans l’année 2016.

Aujourd’hui, rien ne me décide à déraciner cet arbre qui eut un beau vécu. Bien au contraire ! S’il doit être utile à quelques volatiles gracieux, je n’en ferais point davantage. Un petit élagage de ci, de là, et voilà la Charbonnière.

La cuisine ayant vue sur le jardin et le potager, j’aime beaucoup les observer. Ce sont des amies qui ne se laisse guère approcher et au moindre mouvement alentour, elles partent en courant. Observez-les, vous verrez… C’est aussi pour cela que cet oiseau est très souvent à la cime des arbres : en fait, la mésange recherche la tranquillité et se protège de ses proies. Elle n’apprécie nullement de jouer à chats perchés. D’autant plus que sur nos arbres il n’y a pas de « larmier », contrairement aux pigeonniers.

La grive musicienne

Les oiseaux se plaisent au jardin, parce qu’ils trouvent de quoi s’abriter, déjeuner, se percher, nidifier, se prélasser… La grive musicienne s’est mise à l’abri dans un coin touffu que lui procure les cyprès bleus (come bien d’autres oiseaux aussi). La grive n’est pas craintive (sauf prédateurs), pas asociale. Elle se lisse volontiers approcher pour un éventuel focus. D’ailleurs, les haies constituant son principal refuge, là où elle peut nicher et aussi, trouver une bonne partie de sa nourriture.

😉 Ami(e)s des oiseaux, replantez si vous le pouvez des haies vivantes, même derrière les grillages et palissades de clôture. Cela profite toujours aux oiseaux et aux petits mammifères. C’est toujours préférables à ses hauts perchoirs nommés  » éoliennes » qui de leurs ailerons, font véritables gaspachos de volatiles.

La grive vient au jardin quand la haie d’ornement prend un aspect un peu sauvageon, ou quant on a des bosquets arbustifs disséminés à plusieurs endroits. Les jardins en lisière de bois sont aussi visités. Son ennemi le plus redoutable est le chat, surtout en période de reproduction (avril-mai), car les parents s’occupent des petits encore 2 à 3 semaines après qu’ils aient quitté le nid familial, construit soit au creux d’une haie, ou dans un petit arbre.

La grive se confond parfois avec une merlette, car on la voit sautiller pour trouver sa nourriture.
De couleur brun clair et blanc tacheté, portant robe qui prend l’apparence de petites écailles sur la poitrine, cette musicienne se remarque facilement. Son bec est court et droit, ses yeux ronds très foncés et assez grands. Elle se nourrit l majeure partie du temps au sol, en attrapant des lumas (escargots en ancien parler berrichon), dont elle casse la coquille en les tapant contre des pierres par exemple. Je ne l’i vu jusqu’à présent rejoindre l’une ou l’autre des mangeoires. Son déjeuner se compose aussi de vers, chenilles, insectes, larves, baies, groseilles, groseilles et parfois, de fruits tombés à terre.

De fait, pou en revenir aux escargots, son action les limite beaucoup dans mes cultures de salades, épinards, etc. Elle est dont très utile à nos jardins.

Quelle élégance a cet oiseau ! Je le vis pour la première fois en 2020, aller d’une fleur de tournesol à l’autre : semées et arrivées à pleine maturité estivale, puis plantés devant une haie de cyprès bleus.

Pinson des arbres

26/04/23 : entendue seulement, la cisticole,
très reconnaissable à son chant.
À l’arrière du jardin.

Une certaine nature tenant bon !

Je ne saurais dire s’il y a un lien de cause à effet. Juillet à offert un véritable ballet aux passereaux. Jamais de mémoire de jardin, ne sont venu autant de « Rouge-queue cette année. À tel point qu’il n’a pas été difficile d’en photographier au mois un. Ils ne sont pas farouches, ils apprécient particulièrement les jardins où ils ont de quoi se percher, ce qui est le cas dans mon jardin, ou bien marquer la pause. Sinon, le passereau est infatigable !

Laisser un commentaire