Bonjour,
Temps de transition qui conclut une vraie fin d’été à un véritable passage à l’automne depuis le 22 septembre. Nous remarquons bien cette transition depuis les derniers jours du mois précédent, par ces froids matins embrumés. Ce peut être parfois joli à voir, lorsque l’on s’attarde à observer la scène d’un épais halo blanchâtre qui, par sa présence, forme les limites paysagères entre un haut pâturage et l’ourlet d’une petite forêt non loin de mon domicile.
Cette fois, le cycle de la nature a entamé ce qui est appelé à sa transformation et changement de rythme, au fil des semaines à venir. C’est à suivre, à l’heure où l’on vient de passer l’équinoxe il y a quelques jours. Ce sont probablement les dernières floraisons que je vois dans le jardin en ce moment : asters et pensées.

Actualités
Après une première édition,
en voici une autre qui inscrit sa 9ème année
Cette toute fin de septembre s’est terminée avec les Journées nationales dédiées aux bibliothèques et aux médiathèques, les 28 et 29 septembre. C’était la première édition de la thématique, invitant les publics selon l’intitulé « Biblis en folie«
Puis, autre très intéressant sujet de réflexion qu’est l’architecture. Avec la 9ème édition, les Journées nationales de l’Architecture se déroulent sur 3 jours, les 18, 19 et 20 octobre. On peut y voir un croisement entre le passé, le présent et une détermination à venir, puisqu’en cela, il s’agit de donner une seconde vie, contemporaine à des bâtiments, les restaurer et les réhabiliter. Ils sont nombreux. Les uns et les autres, au bénéfice de nouvelles structures et trouvant un nouveau souffle à leur mission : sensibiliser le public aux enjeux de la réhabilitation de bâtiments en tenant compte du cadre environnemental et de ses impératifs quotidiens. C’est l’art de la redécouverte, mettant en exergue les nouvelles pratiques de restauration au bénéfice de l’architecture locale, elle-même au cœur de sa nouvelle mission culturelle, sensibiliser en matière d’art et de sociétal.
Rendez-vous de fait consultables en ligne, sur le site du Ministère de la Culture.
Je partage sur ce thème annuel l’un des exemplaires de bâtis réhabilités de manière tout à fait contemporaine : une chapelle conventuelle donnant jour désormais sur une salle d’expositions culturelles; Un article que je vous partage. Autres liens à découvrir dans l’édito.
Vie du site
C’est un passage que je ne publie pas régulièrement dans mes éditos, mais comme évoqué précédemment, j’informe mes sympathiques lecteurs de mises à jour effectuées dans le courant de septembre.
Rédaction
Plume que je tiens sans cesse entre mes doigts et bon clavier et douce souris qui ne me quittent rarement – même en voyage – j’ai parfois, et selon la demande d’internautes en visites sur Berry Au Cœur de France, à relater mes principales interventions écrites, ce que l’on nomme plus couramment les « news du site ». Je travaille sur mon PC, plongée au jour le jour en Berry que je rédige via l’univers WordPress, tout en restant fidèle à une vision de partage, laquelle est souvent rattachée à un suivi de courriels.
En septembre par exemple, j’ai remis en forme les catégories du menu et certaines d’entre elles me donnèrent pléthore d’articles (entre tourisme culturel et patrimoine local). J’y ai pas mal publié ce mois, patrimonial par excellence. Impossible de ne pas en avoir entendu parler. Et puis, au détour d’une balade à Clémont, le village, le château, l’église, ce qui a étendu le sujet sur celui des demeures à pans de bois. Cela a généré aussi de nouveaux lecteurs et leurs avis laissés sur le site.
D’autre par. Je reçois des mails qui me surprennent, de personnes qui me contactent. Sans avoir à entrer dans les détails relevés des courriels, je précise bien et avec sympathie, que je suis une blogueuse, pas une vendeuse.
Octobre va probablement s’écrire d’une autre partition, mais nul doute que la thématique patrimoine va encore s’emparer du site. Ce que j’apprécie au centuple – en tant que blogueuse – c’est la grande liberté que j’octroie à la rédaction du Berry et des paysages générés tous azimuts. À Verseau, Verseau et demi !
D’ores et déjà, je vous souhaite de vivre ce mois d’octobre le plus joyeusement possible.
Muriel Azemard
Admin du site Web Berry Au Cœur de France
& Blog Miam Berry
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Berry Au Cœur de France – Édito : 01 /10/2024
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Bonjour Muriel,
Merci pour votre newsletter lu ce matin, la région de Berry m’intéresse beaucoup, vous faites de magnifiques photos et votre blog est très complet. Merci pour vos partages.
A très bientôt!
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Que de pépites découvertes sur votre site Berry au Coeur de France.
Bravo et merci à vous madame Azemard.
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Merci Muriel, très gentil.
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Merci pour ce partage du Berry que je connais peu, pourtant me donne envie de le découvrir.
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Merci Muriel, c’est agréable de lire votre blog.
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J’ai commentée et partagée Muriel, super encore ! Cela me vaudrait bien un bon café,
Bises !
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C’est vrai que cela fait un lustre que l’on te li rédiger le Berry qui fait tant le bonheur à tes lecteurs en visites sur ton site amie! Mais comment fais-tu, Berrichonnes pour écrire deux sites en même temps. Moi qui suis un piètre ami de word et de l’internet.
Je suis Balance, petit rappel, bientôt mon anniversaire.
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Muriel, la chapelle de Déols, elle n’est pas plutôt à crécher à Châteauroux? Je crois que c’est cette chapelle où je suis allé lorsque la fin 2020 est passé. Petite chapelle au bout d’une allée, un peu étrange d’installation je trouvais.
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Je partage ta passion pour l’architecture, et pour moi, cette capacité à faire changer les choses lorsque des monuments se réhabilitent, comme cette chapelle où tu as mis le lien, je trouve bien. Tu aurais d’autres exemples?
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Lorsque des transitions entre l’ancien et le nouveau, puisque cela semble être le sujet de ton édito Muriel, quand la transition est assumée, cela donne de belles renaissances, je suis d’accord. Mais aussi, peut t’il avoir lieu derrière ses réhabilitations de monuments des transitions sociales économiques? Je demande simplement 😉
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Un bon point pour le Berry, je trouve, qui n’est pas trop envahit de hautes tours à Bourges ou même Vierzon et Châteauroux, ça pourrait être bien pire, à cette époque ou la moindre parcelle est consacrée au logements.
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