Contexte : S’ancrer ne signifie pas être figé, cette demeure que je croisais à vélo en rase campagne, l’incarne au centuple. Vous souvenez vous comme moi de ce refrain disant « on écrit sur les murs le nom de ceux qu’on aime, des message pour les jours à venir, on désigne tout ce qu’on voudrait dire... ». Cela vous parle aussi ?

Parmi mes archives, cette photo. Visiblement, maison d’empreintes et de réécritures laissées au bon vouloir de la croix du temps et des vents. C’était ce matin où je suis parti rejoindre le gîte de Clavières, commune de l’Indre jouxtant Ardentes.
Je ne sais pas grand chose à ce propos; Si ce n’est qu’a mon retour et après m’être renseignée, il s’agissait de créer un lien entre imaginer, inventer, poser et réécrire », par des élèves, qui, avec leurs professeurs, travaillèrent sur trois jours, pour une inspiration personnelle de la « découverte de leur territoire ».
Ce projet scolaire se fit en bus, autour de plusieurs points d’attente de ces collégiens et leurs travaux étaient visibles du 24 mai au 5 juin 2013. Heureuse d’avoir croisée cet inédit qui n’est plus désormais.

