

Aujourd’hui nous sommes sur ses pas, elle devrait pouvoir nous mener jusqu’à sa roche fétiche. Pour une collectionneuse qui prospecte petits et gros cailloux, l’histoire n’est pas pour me déplaire, de même qu’aux amis du parcours. Arrivés au niveau de l’image, bientôt on se dit Bienvenue en Pays de Tronçais !

Après le stop, on reprend un peu notre souffle. Puis nous traversons la voie centrale pour nous engager sur celle en face (où j’ai fléché).
À quelques kilomètres d’ici, nous entrons dans la commune de Braize. Cheminant, nous franchissons le bourg et à côté de la cabine téléphonique, nous nous mettons sur la gauche en direction de La Martinière
Quelques chose comme 100 m, nous prenons à droite pour continuer sur 1 km. Au lieu-dit La Queudre, nous trouvons un chemin que nous allons emprunter sur 200 m environ, puis un étang (privé) en allant tout droit. En sortie de chemin de terre, on reprend sur un revêtement plus roulant, via la route goudronnée en face, on met nos roues sur la D 28… soyez vigilant. Nous y sommes quasiment arrivé, le Pas de la Mule y fait face.
À présent, amis, descendons des vélos et mettons pieds à terre. Déployons le grand plaid et les rafraichissements qui le font bien… tout en vous laissant conter ladite légende issue de cette roche sur laquelle nous avons vue, à même la terre. Elle se présente dans sa forme allongée, creusée d’une quinzaine de centimètres de profondeur. Il s’agit en fait d’une roche datant du Néolithique et d’ailleurs, elle n’est pas sans me faire penser à une pierre sur laquelle pouvait être mise des petites choses à consumer, que j’évoque plus longuement sur place. Quoi qu’il en soit, j’en viens à la légende.
La légende du Pas de la Mule
« Le creusement de la roche serait dû à un violent coup de sabot porté par une belle forestière alors qu’elle avait accepté d’être métamorphosée en mule par le diable, en échange de la liberté de son fiancé, enfermé dans un cachot à Viljot.
😉 Que ne ferions-nous pas par amour ? Ici, tout me laisse à penser que la belle forestière avait signé un contrat d’âme.
Merci Muriel, légende et balade bien raccord, on aime beaucoup!
A bientôt et bonne fin août.
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Bonjour Muriel, bon dimanche. Saint-Amand, je crois était aussi bourbonnaise.
Gros bisous amie !
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Tout à fait, amie de ville commune 😉 !
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