« Le secret du bonheur, est de faire de ta vocation tes vacances »…

Qui a dit ça ? Quoi qu’il en soit, l’été 2020 s’annonce hors normes pour cause de crise sanitaire. Un avis 😉 si cela vous dit…

Les vacances arrivent pour certains internautes en visite, d’après leurs mails réceptionnés la semaine du 1 au 7/06. Donnant une suite favorable, j’ai eu l’idée de proposer un sondage qui ouvre sur la saison et recueillir l’avis d’internautes plus particulièrement affiliés à leurs séjours dans notre Berry.

Vous trouverez chez Mme Chantal MATIVON un hébergement. Lancée dans l’aventure depuis 2014, le gîte se situe en bordure de la place du champ de foire. C’est dans l’année 2004 qu’un besoin d’hébergement Compostellan, pour des pèlerins ne sachant pas où se loger sur leur étape, après le départ des sœurs du
couvent Notre-Dame-de-Grâce à Charenton, que le couple MATIVON met une partie de leur demeure mise au service des pèlerins de Compostelle.

Quant à votre crédential, il sera tamponné « Notre-Dame-de-Grâce » (qui est présent à la chapelle du même nom), la chapelle de l’ancien couvent.

Renseignement

9, rue du Château de Grave
18210 Charenton-du-Cher
Tél: 02.48.60.82.24 ou 06.50.93.89.61

Que faut-il pour qu’un touriste soit pleinement satisfait de son séjour ?

Des services hôteliers aux chambres d’hôtes pour la convivialité, l’hébergement chez l’habitant, le camping pour les adeptes de la vie en plein air, un club de vacances pour l’animation permanente.
Ou bien un mode d’hébergement correspondant à un souhait tel une location meublée, pour se sentir comme chez soi, mais sans les mêmes contraintes. Les résultats du sondage apparaissent selon l’ordre des réponses randomisé, quant aux votes recueillis – un clic permet d’accéder aux taux de fréquentation par session.

Merci d’avoir participé(e) !

Le Chemin de Saint-Jacques de Compostelle est probablement le plus grand rassemblement Franco-étranger que connaissent les marcheurs. Il faut dire que les itinérances spirituelles sont devenues – depuis plusieurs années – l’Everest du randonneur européen. Il y a autant de motivation à le gravir que de marcheurs et pèlerins qui si trouvent. Le Berry compte de nombreux sentiers balisés sur la coquille, si je puis dire ! Le Chemin est cependant contemporain, au regard d’autres.

En attaché des différents hébergements proposés sur un rayonnement de quelques kilomètres autour du Saint-Amandois…

à suivre /

Notre premier partage collectif sur ce même thème

Lorsque l’on dit « camping », on pense à un mode de vacances allant à l’essentiel. Qu’en pensez-vous ?

Évoquée dans un fil de discussion précédent, la formule camping est le premier hébergeur vacancier en France. Je ne saurait dire en revanche combien d’emplois les vacances en camping procurent globalement parlant en Berry. Le sujet présenté avec sondage va donc différer, à quelques visuels près, du précédent qui s’est ouvert ici. En fait les deux articles se complètent.

Si vous êtes amateurs de vacances plein- air, je vous conseille de privilégier le camping qui fait toujours beaucoup d’adeptes, à condition qu’il ne rime pas avec « vacances au rabais « . Ce qui m’amène à évoquer le sujet des étoiles *
car en camping tout repose sur celles-ci, quant aux prestations et services octroyés aux campeurs pendant toute la durée d’un séjour. Alors mieux vaut suivre de bonnes étoiles. De fait, comment procède-t-on à la distribution des étoiles ? Quels sont les campings qui vous semblent les mieux adaptés aux dernières tendances ?

Les vacances au camping, c’est un tourisme locatif. Les campings aménagés sont classés par la préfecture de l’Indre ou du Cher, après le passage et avis d’une commission départementale d’action touristique.


Les étoiles : de 1 à 4 équivaut au classement d’un camping allant du plus rustique au plus équipé. Mais l’erreur que font parfois les touristes potentiels, c’est, pour orienter leur choix, c’est d’abord de regarder le nombre d’étoiles, ce qui ne voudra pas forcément démonter que… Si ?
En terme d’étoiles il en va d’un camping comme d’un hôtel. Les étoiles ne nous renseigneront pas sur la qualité des prestations, mais sur la quantité.

Pour l’obtention d’un 5***** demandée par un camping, on mesure notamment les emplacements de terrains, exceptés les hébergements que l’on ne mesure pas, attendu que ceux-ci ne sont pas pris en compte (mobile-home par exemple). En fait la réglementation ne demande pas de contacter le locatif et les hébergements. Tous les terrains, selon leur taille et leur capacité d’accueil, ont à peu près le même nombre de toilettes et de points d’eau (au minimum 3 ou 4 pour 100 emplacements).

L’esprit « camping-car« 
pour une liberté la plus absolue et affranchie.

Car c’est non seulement une passion pour l’itinérance la plus absolue, très souvent elle accompagne un changement de vie (pour ne pas dire « complet »).

Qu’il soit à la baba cool, ou bien modernisé comme ci-contre, le camping-car s’octroie une véritable philosophie du voyage en termes de nomadisme. Je comprends tout-à-fait la pensée conductrice des internautes, via leurs commentaires postés ci-dessous à propos.

À une époque de sa jeunesse, mon fils aîné Seb ne jurait plus que par un indescriptible espoir de devenir camping-cariste. Il n’avait alors que 17 ans – et génération 81 = 9, soit les voyages au long cours et autres lointains horizons.

Les vacances sont souvent considérées comme la quête d’un « ailleurs ». Cette recherche de « l’ailleurs » se doit avant tout de répondre aux affinités de tout un chacun, sorte de vacances à la carte, alors qu’une majorité de séjours touristiques, en Berry ou ailleurs, s’effectuent surtout via la famille ou chez des amis.

Rien n’empêche de combiner visite à la famille et activités touristiques, d’autant que certains organismes ou organisateurs en termes de tourisme, ont bien compris que les premiers prescripteurs du tourisme local sont les habitants eux-mêmes, puisqu’ils accueillent leurs familles et leurs amis.
Passer quelques jours de vacances chez/avec la famille, c’est également faire « retour » sur des lieux familiers. C’est non seulement un besoin de se re-lier aux amis, à de la famille, mais également garder des attaches avec un terroir que la parenté à peut-être elle-même voulue conserver.

Les Berrichons de Paris viennent se ressourcer, reprendre racine dans leur terroir. C’est au passage occulter le fait des Berrichons qui se rendent à Paris pour visiter leurs cousins. En fait, dans un cas comme dans l’autre, n’avons-nous pas à faire ici à un « Tourisme de retrouvailles » ?

Indépendamment de la crise sanitaire, à partir de l’année 2020 les plus longs séjours s’organiseront très probablement autour de dix jours et les plus écourtés consisteront à six jours. On verra bien, car aujourd’hui, rien n’est si simple, quant à l’économie touristique où tout est à « relancer »suite à la pandémie, partout, en Berry, en France, dans le monde entier.

« Chambre d’hôtes » à la campagne

La France compte plus de 150 000 Chambres d’hôtes, essentiellement en milieu rural et le Berry n’en est pas exempt ! De plus en plus de touristes plébiscitent ce type d’accueil “comme à la maison”. Si vous êtes propriétaires, n’hésitez pas à le mentionner dans un message

Proposer une ou plusieurs chambres d’hôtes peut se révéler une source de revenue intéressante, mais il est parfois ardu d’en faire une profession à part entière et le tourisme rural qui ne s’improvise pas.

Qu’est-ce qu’une chambre d’hôtes ?

Il s’agit de l’équivalent d’un“bed and breakfast” à la française. Vous, moi ou tout autre particulier consacre un bâti qui a pour vocation désormais d’accueillir des touristes à la nuitée, de fait dans sa propre demeure. La prestation comprend le petit-déjeuner (continental ou autre).

Vous pouvez également proposer une table d’hôtes en servant des repas le soir… Ne pas confondre “chambre d’hôtes” et “gîte rural”, qui est un logement indépendant, équipé d’une cuisine, loué généralement à la semaine ou lors d’un WE. La prise de vue de l’entête a été faite lors de mon séjour à Quincy lors des JEP, il y a quelques années.

La grande diversité des offres de séjour est bien là ! Mais bien avant de passer sous étude la viabilité économique, plusieurs paramètres obligatoires entrent en ligne de compte. D’abord la toute première question qui doit faire sens : “sommes-nous fait pour cette activité ?”. Ouvrir une maison d’hôtes exigera le sens de l’accueil, car en fait, la clientèle vient chercher une “relation” avec les accueillants, lesquels doivent se montrer disponibles. En saison les horaires sont très prenants.

Où s’installer ?

Il me semble évident que si un jour, j’aboutissais ce projet (que je caresse déjà), j’éviterais en expertise un lieu trop isolé et rechercherais, au contraire, la proximité d’un axe touristique.

D’autant que la plupart des touristes veulent profiter d’avantages à la campagne, soit calme et nature assurés, sans toutefois en subir de potentiels inconvénients, tels qu’éloignement, accès difficile, etc.

Aussi on se renseignera auprès de l’OT le plus proche de son lieu de projet.

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Berry Au Cœur de France
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49 réponses sur « Enquête Vacances »

  1. J’ai choisi le camping-car, on verra bien!

    Mon rêve le camping-car mais cette année est partie remise car nous devons attendre l’an prochain pour l’achat. Ce que nous avons soit disant économisés ( médias ) pendant le confinement, parce que nous n’aurions pas dépensés ( pas sûr ), ne suffira pas à réaliser notre projet sur un gros investissement financier à Bourges cette année.

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  2. J’aime bien la citation, je ne sais pas qui l’a dite. En revanche, comme beaucoup de personnes, nous n’allons pas partir comme nous le faisons les autres années en camping à Royan, bord de mer. Je rejoindrais presque le participant précédent, je ne pense pas plus que lui que nous avons fait des économies sur le dos du Covid 19. En temps normaux, nous il ne reste pas grande fortune à notre banque en fin de mois, pour dire que nous allons nous rattraper avec le déconfinement.

    Nos vacances se feront chez nous. Peut-être cela l’autre choix pour des vacances en Berry, nous sommes de Menetou-Salon au-dessus de Bourges. J’aime bien votre blog, merci beaucoup et bonne semaine tous. Amicalités.

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  3. Bonjour et bravo Muriel pour la qualité de votre site Berry au coeur de France et surtout faites-nous découvrir encore et encore votre belle région du Berry.

    Nous allons très probablement pouvoir arriver dans l’Indre pour 4 jours en maison d’hôtes à côté de la ville Le Blanc. Nous attendons nos réservations faites par mail et devrions partir dans un petit mois. Nous trouvons votre site très attractif qui donne une agréable envie de découvrir de belles choses publiées, mais il nous faudrait plus que 4 jours pour cela. Avant notre départ nous avons beaucoup encore à découvrir de vos articles très intéressants.

    Nous tenons mon épouse et moi à vous remercier, nous allons bientôt nous préparer à découvrir la région, merci de la mettre si bien en valeur. Nous relevons vos coordonnés de contact.

    Cordialement.

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  4. Bien le bonjour,
    Merci à vous de vous être manifestés dans les commentaires. De retour en Berry hier en fin d’après-midi, je viens de parcourir vos sympathiques messages.

    Fidèles à la province Berry, cette année nous sommes bon nombre à rejoindre l’opération de réintroduction des vacances en France.
    Via l’appel lancé par M. Patrimoine – Stéphane Berne – de passer nos vacances en France, cette année si inédite et sans précédent.
    Nous sortons progressivement de la crise sanitaire et rêvons de vacances, pour nous aérer l’esprit, retrouver une liberté d’aller et venir, en découvrant ou revenant d’une région à une autre. Via une association de mots-clé sur « Berry », nul doute, chers amis, que vous y trouverez votre compte   !! Je passe mes vacances en Berry pour le Soleil et le plaisir. Je redécouvre nos producteurs locaux, je m’entretiens avec eux et bien d’autres encore.

    Et puis. Pour certains, les vacances ne seront pas cette année, davantage au regard d’autres, une simple parenthèse. Elles seront surtout un art de vivre « retrouvé », et c’est pourquoi notre Berry est d’ors et déjà considéré (mails reçus cette semaine) comme une destination privilégiée des internautes du site Berry Au Cœur de France, en quête de valeurs vraies, épris de nature, de connaissance, de visites au médiévalisme, sensibles au charmes des parcs et jardins (secrets ou autres d’ailleurs)… Que de choses à voir, à visiter, à faire dans notre beau Berry 😉 !!

    Cette année « Je reste en France » – précieuse réflexion.
    Est-elle la votre aussi ?

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  5. Voilà qui est super ce soir ! Avec notre amie Muriel, nous choisissons le Berry pour juillet et en août nous avons réservé ce matin pour 1 semaine dans le Pays Basque, une suite de vacances après celles de juillet de l’an dernier. Et bien tu vois, malgré que vacances différentes de l’an dernier effectivement ! Le retour à la normal n’est pas prévu avant début juillet.

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  6. Ou tout à fait BS !

    TF1 qui est plutôt bon médiateur en termes de sondages, annonce déjà que ce qui va être plébiscité de vacances cette année, c’est le cœur de la montagne, et ce même si nous devons y aller avec masques : Pyrénées majoritairement, puis les Alpes… de fait les hauts sommets 😉 !

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  7. Compris par les infos télé ce matin, même pour des vacances à la campagne juillet, août les locations sont en train de flamber pour celles faites pendant le Covid et la présence d’une piscine, qui peut faire exploser la facture 😬

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  8. Bonjour,

    Nus sommes le 22 juin, et son ampleur de nouveautés que nous allons découvrir au fur et à mesure dans l’actualité,
    à 2 semaines des vacances d’été. D’autres flux devraient avoir lieux à partir de cette semaine côté tourisme et vacances.

    Alors je vais sans doute me répéter, mais, et en quelle faveur des destinations touristiques avez-vous projeté vos vacances
    2020 ?

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  9. Muriel, supposons que je veuille louer ou prêter un logement conjugal qui se trouve à l’étranger, faut-il une assurance particulière ?

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    1. C’est d’un même ressort que d’avoir une location en Berry et que tu louerais à un couple d’étrangers. A savoir qu’un contrat multirisques habituation, couvre généralement la plupart des risques qui se produiraient en votre absence. J’entends par « risques » des dégâts commis dans le logement conjugal par la ou les personnes à qui nos Berrichons de nature ont loués.

      Autrement dit Lorette, considérez que tout prêt, comme les dommages que tes locataires peuvent occasionner sur le séjour dans votre habitation. A vérifier néanmoins auprès de l’assureur… Quoi donc ? Que tu sois bien garantie (si cela n’a pas été envisagé encore), notamment à titre de responsabilité civile : et cela, que ce soit pour le logement loué, sans omettre toutefois de « contrôler » le montant de la franchise éventuelle.

      Généralement aussi, les organismes d’échanges conseillent de s’adresser les copies de contrats d’assurance… Mais… parfois. Ben, c’est juste ce « parfois » dont il faut s’assurer, si j’ose dire, pour qu’il n’y ait pas, quelques jours de Soleil plus tard péril en la demeure. 

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  10. Personnellement, nous sommes très autonomes lorsque nous programmons 1 ou 2 semaines de vacances en dehors du Berry, et pour le logement. Mais apprendre à se connecter à plus de temps libre, aux vacances par exemple, ça ne fait pas de mal. En plus de cela, vous avez raison de penser tous que les séjours des touristes sont de plus en plus courts et qu’ils partent moins loin qu’avant. Pourrait-on avoir par exemple une estimation ?

    Moi je crois qu’à propos des campings en Berry, ce sont les 3 étoiles en tête et les hôtels, la préférence aux 2 étoiles.
    Il y a un monde dans ces possibilités de vacances.

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  11. De votre temps libre, combien de ce temps allez vous consacrer à vos vacances … excepter les vacanciers à vie et à part la résidence secondaire ou la maison de famille, il y a une franche diversité d’hébergements de vacances dans le Berry. Ceci répond à une demande croissante des touristes ?

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  12. En fait, nous pensons que cela bouge aussi de ce côté, et qu’à défaut de surnombre touristique, il se peut que Juillet et Août soient portés au profit de séjours plus courts. D’autant qu’en termes d’hébergement et de restauration, le Berry n’est pas dernière région de France à proposer une quatlité d’accueil et de services.

    Pour se loger, le touriste n’a que l’embarras du choix : en passant des services hôteliers aux chambres d’hôtes pour la convivialité, l’hébergement chez l’habitant, le camping pour les adeptes de la vie en plein air, un club de vacances pour l’animation permanente (petite pensée adressée à Lucie…). Ou bien, un mode d’hébergement correspondant à un souhait tel une location meublée, pour se sentir comme chez soi, mais pas avec les mêmes contraintes, ou un séjour à l’hôtel pour éviter les problèmes d’intendance, etc. Il faut savoir que cette dernière suggestion est très demandée, au regard des quelques dernières réponses que j’ai dû adresser ces jours-ci, à des internautes qui viendront bientôt nous rendre visite. Et chacun sa formule vacances en Berry !

    À vous de nous dire ce que vous en pensez.

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  13. Un rien m’occupe, c’est pour cela que je partirais bien en vacances une année entière. Des vacances à la carte, je ne dirais pas le contraire, mais je me questionnais sur  » qui  » peut se le permettre ? Le tourisme qui se fait par l’accueil de la famille, à mon avis n’est pas la majorité et nous n’avons pas de pourcentage référenciel à avancer. J’ai les moyens de me poser une question, quel intérêt d’aller passer ses vacances dans la famille, à part les Berrichons de Paris qui font du tourisme en Berry ?

    Ce qui est intéressant ici, c’est la raison du choix des vacances. Est-ce qu’elle amène un éclairage ?

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    1. J’ai les moyens de me poser une question, quel intérêt d’aller passer ses vacances dans la famille, à part les Berrichons de Paris qui font du tourisme en Berry ? Ce qui est intéressant ici, c’est la raison du choix des vacances. Est-ce qu’elle amène un éclairage ?

      C’est un avis que je partage, mais avec le propos quelque peu différent. Dans ces appréciations, il faut garder à l’esprit le fait que passer quelques jours de vacances en famille, c’est également faire « retour » sur des lieux familiers. Autrement dit, c’est non seulement un besoin de se re-lier aux amis, à de la famille, mais également garder des attaches avec un terroir que la parenté à peut-être elle-même voulue conserver. Ta question est intéressante à développer, et en cela, on peut l’aborder via l’angle touristico-familial. C’est pourquoi j’écris partager ton point de, mais avec un regard quelque peu différent.

      Ok ! Les Berrichons de Paris viennent se ressourcer, reprendre racine et radicelles dans leur terroir… C’est au passage occulter le fait des Berrichons qui se rendent à Paris pour visiter leurs cousins. En fait, dans un cas comme dans l’autre, n’avons-nous pas à faire ici à un « Tourisme de retrouvailles » ?

      Bonnes et heureuses rentrée, ou bel été indien vacancier pour ceux et celles qui s’y trouvent en septembre.

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  14. Et les Sarthois partis pour s’installer dans le Berry et l’inverse aussi. Une entrevue très sympathique d’après ce style de tourisme familial, je trouve. Lorsque vous avez envie de privilégier un huis clos familial et amical, c’est le désir par temps de tribus en société restreinte. En réalité, se retrouver en famille pour des vacances, c’est le rêve de plusieurs personnes, pour contrebalancer la vie active en milieu urbain.

    Est ce que certains d’entre vous, Berrichons ou personnes en différentes régions, sont allés en Sarthe ou dans le Perche pour leurs vacances ?

    Merci pour ce lien amical

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  15. C’es aussi la spécialité des cadres, pour savoir ce que nos vacanciers préfèrent. Mais dites, existe-t-il chez vous dans le Cher (peut pas répondre pour vous) des locations au noir ou des échanges de logements ? Parce que l’Indre sait se tenir ! L’an dernier je notais également que 18 % des emplacements des campings sont loués à l’année,, avec un nombre de plus en plus important de mobil-homes  » sédentarisés « .

    A plus tous !

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  16. Suis-je le seul à penser depuis un bon moment que les personnes qui se rendent sur un lieu touristique et choisissent le gîte rural, cherchent de moins en moins à partager avec les propriétaires, les autres vacanciers, le village ?

    Certains vacanciers recherchent même un jardin privé !

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  17. Des touristes chez nous, se repèrent facilement. Dans les châteaux et dans les musées. Ils demandent autour de la culture.

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  18. C’est par notre expérience que nous pouvons juger le sujet des chambres d’hôtes et ses formules. Les deux tiers des séjours, pour des motifs personnels, sont effectués en hébergement  non marchand : logement de vacances familiales, mais peu dans une résidence secondaire. Parfois, difficile à estimer, car je sais qu’il existe des locations au noir, des échanges de logements, par exemple entre professions de même niveau social.

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  19. Dans un contexte en crise, je comprends effectivement la difficulté de chiffrer le tourisme. Il y a d’une part à rétablir un petit peu la promotion du tourisme et revenir à des qualifications pour les acteurs. C’est vrai que nous avons dans l’idée de contrôler assez vite et s’étendre sur nos compétences, et parfois, nous sommes forcé de faire de l’abattage en épargnant les sites sur la défensive et où il y a peu d’offres, car lieux les plus désertés par les touristes. La plupart exigent tous les jours, dans le réel … prévoyance !

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    1. Les Gîtes de France comptent 44 250 gîtes ruraux et + de 10 500 maisons d’hôtes. Ces ambitions ne sont pas du goût des hôteliers qui y voient une sérieuse concurrence. Plus il y a de chambres d’hôtes, plus les hôtels vont souffrir en ces temps de crise. 

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  20. Je crois que dans l’immobilier c’est un peu parfois pareille que pour le tourisme. Comme professionnelle dans l’immobilier et mon expérience professionnelle par rapport au tourisme, il est relativement aisé d’acheter ses vacances en Espagne.

    L’an dernier dans notre agence de Bourges nous avons acheté 2 pied-à-terre le long des côtes, parmi lesquelles la Costa Del Sol et la Costa Brava qui figurent en tête des destinations les plus prisées. Le marché de la résidence secondaire s’y porte bien. Si les prix étaient encore abordables il y a quelques années, ils se sont littéralement envolés. En 1 an à l’échelon national, le prix des maisons a en effet augmenté de 22% et la location de séjour vacances résidences à chutée en 2009 par la crise. Nous sommes loin des petites chambres d’hôtes du Berry en parlant des intermédiaires de négociateurs immobiliers. Les 2 pied-à-terre achetés par l’agence sont pour être loués sur séjours. Selon le réseau ERA qui publie chaque année une étude sur l’immobilier en Europe, imaginez 20 000 agents immobiliers sur tout le territoire espagnol, où le marché est attrayant et là bas, on est loin des transactions berrichonnes. Je ne sais pas ?

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    1. Il est relativement aisé d’acheter ses vacances en Espagne

      Lucie, voilà une situation exposée, mais ma perception que j’ai pu ressentir en te lisant, est que tu laisses la part au doute.

      Le marché immobilier est comme d’autres, toujours pas sorti de la crise ambiante. De ce fait, je ne penserais pas que l’Espagne s’offre à un bel essor, au point de satisfaire tant les parcs immobiliers, que les acheteurs particuliers. Mais bon, c’est ma vision de la chose, et je nais possiblement pas une bonne vision sur cela. Et puis quel marché ? Et puis les prix du marché ? Je veux dire, quels sont en fait les critères de choix propres à votre agence Berruyère ? L’immo n’a pas cessé de grimper depuis 6 ans… Paroles de Berrichonne, hier les résidences secondaires étaient un choix privilégié, mais au jour d’aujourd’hui ?

      Ok pour la prospection tous azimuts, LUCIE ! Seulement, signer dans les formes pour un tourisme plein Soleil et pas cher, pas certaine !D’autant que pour un particulier, un financement sur mesure devient de plus en plus périlleux via la conjoncture, attendu que les organismes financiers se font réservés, voire méfiants. Et ce n’est pas parce qu’ils se collent sur le dos la concurrence des Assurances et autres démarcheurs du milieu, qu’ils apprennent à gérer au cas par cas. Je pourrais te parler des heures durant du quatuor porteur Marché Immo- Banques-Assurances-Tourisme (tout risque parfois). Mais pour me recentrer un peu au cœur du débat, voici ma vision perso. Par ailleurs, quand on voit autant d’agence s’ouvrir via l’immobilier, on se dit que le marché est forcément porteur. Pour exemple, il y aurait à recenser les agents sur le Bassin Saint-Amandois, c’est très parlant !

      C’est beau et engageant de pouvoir ainsi se fondre dans la vie locale sous soleil étranger, seulement, louer ou acheter à l’étranger, ce moins couru d’avance qu’hier ! Il faut en cas faire la fusion « dépaysement et Économies », mais qui le peut bien sous cette période frustrante actuelle, que l’on soit au 6 Mars ou arrivés au Ier Juillet 2010 ? À mon sens, il y a intérêt à bien mesurer !Avant, tu m’aurais possiblement branchée sur l’étude de mes goûts pour telle ou telle destination. Aujourd’hui, et d’emblée, je serais nettement plus soucieuse à me voir brancher « financements ». C’est bien le fond de ma pensée, et il y a intérêt à mesurer ses pas !

      Mais je suis bonne joueuse, alors admettons que selon tes vues, le marché de l’immobilier en Espagne défie toute concurrence, via des prix qui s’envolent à proximité des ses côtes. Force est de constater que les agents immobiliers sont en progression constante en Espagne, attendu que l’exercie de la profession est loin d’être aussi règlementée qu’en France, relation de cause à effet. En fait, tu sais bien Joéva, que la commision des agents immo oscille généralement entre 3 et 5%, et qu’elle peut s’étendre jusqu’à 10%, et notemment en termes de résidences… Alors, autre cause à effet ? Selon toi ?
      Puis, il n’est pas exclu que se greffent des intermédiaires et autres inattendus, sans compter la fiscalité loale, selon que j’achèterais « ancien » ou « Nee-âge ». Et si je sais bien que contracter un crédit là-bas ne pose possiblement pas plus de problématique que d’acheter en France, il n’en reste pas moins que les intermédiaires (qui agents immobiliers, qui négociateurs) via le réseau, laissent parfois perplexe… Aussi, homme et femme avertis en valent quatre ! Ben si !!!!

      Au fond, il en va ainsi pour de nombreuses destinations.

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  21. Je vous le dis, ma collègue est ravie grâce à vous, pour son projet de séjour dans votre Berry. Je ne sais pas ce que représente le tourisme hôtelier dans le Berry, ainsi que les Chambres d’hôtes. Satisfaits pour l’ensemble ?

    L’Espagne, Muriel, est en revanche le pays le plus abordable, pas cher. Je suis d’accord à ce qui est dit, faire attention aux surprises. Pour éviter les déconvenues, il est prudent de choisir un établissement lié à une chaîne qui possède un bureau de représentation en France, ce qui vous garantit la proximité d’un interlocuteur compétent en cas de difficulté.

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  22. Ce n’est pas mon grain de sucre que je veux apporter comme contribution, mais mon grain de sel. Je décidais cette année des vacances hors du Berry ou en dehors de l’Espagne, pour aller 15 j. en Grèce où d’après notre agence de voyage à Châteauroux, il y a peu d’intermédiaires en Grèce. Le mari (le mien) se persuade que ce pays enregistre une activité soutenue dans le secteur de l’immobilier et que la vente et location d’appartements et séjours (location d’1 semaine par exemple) sont à des prix raisonnables. Nous ne nous sommes pas encore décidés.

    Ps / Pour évier els déconvenues, il est prudent de choisir un établissement lié à une chaîne qui possède un bureau de représentation en France.

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  23. C’est un bon conseil effectivement, car côté surprises…

    On peut en passer quelques-unes en revue. Nous sommes sûrement nombreux à avoir faits des parties de Monopoly jusqu’à plus d’heures, mais là, c’est bien d’autre chose qu’il s’agit. Supposons simplement deux exemples : au pire, on va imaginer que nous venons de faire l’acquisition d’un bien à l’étranger, mais grevé d’une hypothèque ou d’une servitude quelconque (la cerise sur le gâteau !). Ou bien encore, un vendeur redevable, alors que rien ne vous le laissait supposer à la transaction… Et puis une petite dernière pas piquée des hannetons elle aussi : des arriérés, des impayés (généralement, c’est sur votre chapeau que çà va tomber, tout çà), et enfin, des trucs de copropriété. Vous pensez que c’est le fruit de mon imagination ? Ben non ! Tout cela peut s’avérer vrai de chez vrai, aussi sûrement que le jour suit la nuit et 1-versement 😉

    Mais bon, après tout, poser les valises en Berry ne sera pas si mal !
    Alors les filles, de deux maux, choisissez le moindre… Parole d’amie.

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  24. Il me semble que toutes les formules sont bonnes à comparer pour le collimateur immobilier touristique et vacances hébergement.

    Côté campagne, si le Lubéron et les Alpilles ou le Périgord ont la faveur des étrangers et aussi des Parisiens, d’autres paysages attirent les acquéreurs de toute origine. C’est le cas du Berry, du Perche, du Poitou-Charentes, de la Bourgogne, de la Drôme, du Limousin, de l’Aveyron, de la Champagne .. Il est vrai que les prix sont en général moins élevés qu’en bord de mer ou en montagne et que certaines compagnies bouleversent la donne, rendant certains marchés très attrayants.

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  25. Comme d’autres, les touristes sont pressés et s’ils viennent par internet, c’est qu’ils veulent être renseignés très vite en rassemblant devant l’écran une multitude d’infos touristiques. Je crois qu’ils ne s’y prendront pas au dernier moment pour réserver dans l’un de nos campings, une chambre d’hôte ou un hôtel, même si ici ce n’est ni la mer ou la montagne.

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  26. J’ai un penchant pour les vacances chambres d’hôtes ou hôtel qui ne seront pas plus chères qu’au camping 3 étoiles. J’écume depuis quelques temps quelques lieux et je me renseigne pour me faire une opinion de ce que va rencontrer l’obsession du touriste.

    Je connais à Eguzon, Aigurande et Crozant des personnes qui louaient et d’autres qui louent, je crois que la formule location a peu changée.

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  27. Les séjours à l’hôtel sont également des services bien compris en termes d’hébergement, autant que nous voyons les locations saisonnières pour être comme chez soi, les chambres d’hôtes pour l’accueil à la famille via l’esprit convivial, le camping pour des vacances en plein air, etc…

    Ou bien, peut-être moins nombreuses en Berry à la proposition, quoique, la résidence de tourisme. Chacun revient sur ce qu’il veut partager, c’est très bien ainsi. J’ai moultes fois fréquenté les hôtels en Berry, et sans pour autant les comptabiliser, je puis dire que le maillage du territoire « Hôtels » est bien compris, bien représenté et très complet en matière d’hôtellerie.

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  28. Début avril les campeurs se font encore rares et pourtant la formule est attractive autant qu’un séjour à l’hôtel. D’après moi, la formule vacances/hôtels n’est pas celle la plus demandée dans l’Indre, même si la concurrence est de plus en plus grande. Si tu as des contacts et des conseils à nous donner.

    Amitié.

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    1. Alors oui en effet, classons un peu ! La formule « Hôtel » est loin d’être figée, elle évolue notamment sous la pression de touristes et autres consommateurs qui réclament, globalement, plus de confort, de services, etc. Mais les hôteliers indépendant, et notamment en période de crise, ont possiblement du mal à suivre l’évolution que souhaitent ou attendent les clients, cédant en ce cas le terrain à des chaînes hôtelières ou groupes sachant concevoir du fonctionnel, via une garantie accrue en termes de qualité, de services, et de qualité de service. Pour exemple, le groupe hôtelier « Mercure » sur Saint-Amand, et ailleurs, Formule 1, Campanile... etc. En fait, ces « Novotel » sont une autre extrémité du « spectre » de l’hôtellerie standardisée et autres établissements comme ceux-ci, et sous enseigne.

      Entre ces deux formules d’hôtellerie, soit l’hôtellerie indépendante et celle plus standardisée, se fraye la voie de la synthèse, soit ce qui est nommé « les réseaux volontaires » auquel le principe se rattache à l’adage assez convaincant qui est « L’union fait la force ». Autrement dit, des hôteliers indépendants acceptent de renoncer à leur part de rêve, ainsi qu’à une partie de leur « liberté de décision » pour s’approprier ce qu’il y a de mieux à prendre, via les chaînes « intégrées », plus standardisées, à la symbolique plus nationale.

      Aussi, ces réseaux de troisième voie réunissent derrière une bannière commune des hôtels gérés par leurs propriétaires.
      Selon vous, est-ce un bon compromis ?

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      1. Choisir son hôtel c’est d’abord choisir au niveau du confort. Perso je me débrouille pas trop mal à compter jusqu’à 3 les étoiles. Au-dessus je ne plafonne pas car indirectement, un niveau de prix qui correspond à un éventail plus ou moins large et plus ou moins sophistiqué des services proposés.

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        1. Les hôtels de charme et de caractère viennent compléter dans le même esprit l’offre d’hébergements du Berry, comme font les locations de vacances, les gîtes et les chambres d’hôtes sélectionnés parmi les hébergements détenteurs du label  » Gîtes de France  » ou  » Clévacances France  » qui garantissent un très bon niveau d’équipement et de confort.

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  29. C’est ainsi que la multiplication des courts séjours encouragés à la fois par l’application de la réduction du temps de travail (RTT) et par le morcellement accru des vacances, donne un peu plus de poids au tourisme urbain (villes moyennes comme Eguzon, Argenton, la Châtre ou grande ville de Châteauroux). A Eguzon nous avons quelques résidences vacances à haut niveau de confort aussi et des locations qui remportent un beau succès à partir de mai, chaque année.

    1000 bises à toi Mumu !

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  30. Bonjour Muriel, bonjour à tous.

    En matière d’accueil et d’offres de séjours, on constate et on regrette parfois sur des lieux de vacances, une rareté des structures d’accueil et de séjours collectifs de type Village de vacances. Il y a certainement un gros effort à faire par les décideurs touristiques. Le groupe AZUREVA semble bien s’en tirer.

    J’ai un peu l’impression, qu’en matière d’offres de séjours, on met trop systématiquement la barre un peu haute et que les mots  » collectif  » et  » social  » font peur. On sait bien que ce n’est pas l’espace qui manque, ni même nos capacités d’animation. La demande ? peut-être, je n’en sais rien. La demande, ça se créé aussi, les commerciaux le savent.

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  31. Attention, en revanche, on pourrait trouver par exemple en hôtels-clubs ( formule ) ce qui peut se confondre avec les villages de vacances. C’est bien la formule  » Clubs de vacance s » que nous avons à l’esprit et cela est un tourisme social.

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  32. Les petites enclaves accueillent les clients, les touristes (chacun aura sa formule de politesse et de respect) dans des espaces d’animation sans qu’il soit besoin de chercher son bonheur ailleurs.

    Certains ont quitté le statut associatif pour avoir une logique de marché, des ex-villages vacances qui faute de demande, n’ont pas pu résister. Dans l’Indre, ce n’est pas parce que la crise est passée par là, mais parce que dans l’Indre, il a été parfois difficile de mettre en avant son origine pour mieux rivaliser avec quelques concurrents mieux placés. Heureusement que certains professionnels sauvent leur mise par les circuits de Saint-Jacques de Compostelle, car juste pour cela, dirais-je, on est obligé de produire du gîte et de l’accueil de touristes.

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  33. C’est vrai, je remarque aussi comme vous que nous ne pouvons pas évoquer le sujets vacances, sans que revienne le sujet de l’hôtel.
    Il y a eu depuis pas mal d’année une nette amélioration de ces hôtels partout.

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  34. Je me suis demandé, en lisant le sujet, où trouve-t-on, aujourd’hui les principaux acteurs de  » Villages de vacances « , je suis en Bretagne et je découvre votre site Muriel.

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  35. Est-il en Berry un tourisme social qui puisse gérer des villages ? Il n’est pas dépourvu d’une présentation de vacances actives.

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  36. C’est une forme de tourisme associatif pour vacanciers plus modestes, qui se tournent vers des sites qui n’ont souvent rien à envier à ceux des professionnels à grandes étiquettes ou sous étiquettes privées.

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  37. On parle bien de la catégorie « Clubs et villages de vacances » gérés par des structures associatives ou des entreprises qui travaillent dans le champ de l’économie sociale et solidaire.

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  38. Un petit coucou à tous 😉 en passant et mon p’tit grain de sucre ajouté !

    Je voudrais rappeler notamment deux choses importantes.

    En fait, les Hôtels-Clubs, à mon sens, ne représentent que le dernier secteur où l’offre des Clubs Vacances semble très importante. Et puis, pour remettre bien les choses à leur place réelle, de souvenir, les vacances familiales et autres vacances ouvertes à dimension humaine ont pris leur Genèse dans les années 70. C’est durant cette période que le tourisme social s’est fort bien développé.

    Toujours est-il que de ma jeunesse, j’ai connu l’une de ces structures que vous évoquez. C’était dans l’Indre, jouxtant, lorsque l’on descend le bourg et que nous prenons la direction de La Bussière, vers le moulin. A mi-chemin entre Pérassay et le moulin, nous passions devant un Village-Vacances (sur la gauche) en allant vers le moulin. Combien de fois n’aurais-je pas emprunté cette route goudronnée !

    En fait, ce qui peut parfois faire péricliter un Village vacances, c’est lorsqu’il y a une difficulté à tendre vers le PROGRES, la nouveauté et suivre et des impératifs en termes de rénovations et d’installations. Dans la même veine, bien des années plus tard, la réforme des hôtels vétustes ou mal adaptés à la nouvelle clientèle actuelle. C’est en effet un réel débat de société…. Alors, on s’est mis à réformer les étoiles… Mais ça, c’est un autre débat !

    Le point commun quand même, c’est un passage obligé pour les hôteliers, de rénovations de ce qui n’est plus adapté, et notamment, qui était déjà non adapté à une clientèle à mobilité réduite.

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  39. Le Tourisme d’aujourd’hui ne peut pas s’engager sans la nature. Un village vacances, c’est un peu vu comme un paradis des lieux maintenant. Plus l’environnement plaît, plus le village vacances propose à sa clientèle, aux nombreux touristes de passage des animations à la journée franchement appréciées comme point touristique gagnant et des animations pour toute une famille, groupes d’amis.

    Un village vacances se proposera aussi de répondre aux visites  » sur place  » et souvent à l’improviste. Sinon, notre Station Verte est merveilleuse aux quatre saisons, même cet hiver où nous avions la neige. D’après moi, un village vacances doit pouvoir répondre à un  » entier naturel « . De toute façon, il n’est pas question pour le Berry de s’aligner avec des structures comme Pierre & Vacances, le Club Med.

    Je profite de ma contribution, pour indiquer que les vacances à l’hôtel font partie des demandes que nous recevons des touristes qui dans l’Indre, préparent un séjour entre juillet et août. Je crois, mais notre administratrice en témoignera sûrement, cela est dû aux hôtels très bien équipés, qui font aussi le bonheur de clients. C’est une règle du jeu aussi, un séjour à l’hôtel ( l’hôtel, bonjour …. )

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