J’ai photographié les ruminantes ci-dessus depuis le lieu-dit « Les chapelles » jouxtant la commune de Saint-Amand-Montrond. De très bonne heure le matin, partie pour rouler des kilomètres plus loin, à vélo. J’allais à Blet et plus loin encore. La campagne fut à portée de zooms plaisirs tout au long de la journée. Non loin d’ici est une ferme, et pour y être passé devant à plusieurs reprises, je pense que les berrichonnes en sont issues.
Par après bien d’autres suivirent pour vous rédiger un de ces beaux articles sur BACDF.
Campagne – « Les Chapelles »
Les vaches berrichonnes
On pense volontiers qu’il suffit de laisser pousser l’herbe et de laisser aller le bétail en liberté. La prairie naturelle est en concurrence depuis des décennies avec la prairie cultivée.
Qu’à cela ne tienne ! Aujourd’hui, portrait photographique, histoire de n’omettre aucune image qui plus est tellement authentique, depuis ma campagne qui a un véritable style.
Ci-dessus, depuis Lys-Saint-Georges – Indre.
Ce sont tout d’abord les vaches berrichonnes déclinées en ruminantes, gavées d’herbe broutée de long en large. Dans la campagne du Cher et de l’Indre, j’ai photographié ces modèles complaisants, vêtus d’une belle robe crémeuse, pas sauvages pour un sou !
Par monts et par vaux, c’est dans le Val d’Aubois, complètement sous le charme, que j’ai croisé les plus jolies, se détachant d’un vert sublime alentour. Les filles sont paisibles et je reconnais avoir l’esprit de campagne, toujours prête à saisir l’instantané de ces petits bonheurs nature. J’en aurais d’autres à vous montrer…
Partie en randonnée à Épineuil-le-Fleuriel, je suis passé le long de l’enclos, en pleine campagne du Grand Meaulnes. Croyez-moi si vous le voulez, les vaches ne montrent pas seulement de l’intérêt à regarder passer les trains… Preuve en images.
Passage par « La Rue du Puits »
Croisées dans la campagne de La Perche – 18
Cette photo de la campagne de l’Indre. Je la fis en belle saison verdoyante, lors d’une traversée romane à vélo.
Campagne – Coust : 25/10/21.
Le tout avec son sens du verbe inégalable !
Le Berry 
Voilà le bien-être animal dans sa réalité ! Merci aux éleveurs berrichons.
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Tout à fait Bernard 😉 ! Ils sont à citer, ces bien souvent valeureux de nos campagnes.
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Un bon article car c’est vrai que nous aimons bien regarder des vaches pour des photos de nature, elles sont et font partie du paysage et j’adore !
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Dommage que les charolaises et autres ne lisent pas le blog 😉 !
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Les caractéristiques de charolaises sont précieuses : la robe doit être blanche ou crème sans aucune tâche, les muqueuses blanc rosé, la tête relativement petite à front large, les yeux grands et saillants, les cornes blanches, le dos horizontal et très musclé et la ligne du dessous parallèle à celle du dessus.
Petit-fils d’éleveurs creusois,
vivant dans le saint-amandois.
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Les tites vaches !!! Toutes ces dames ont été photographiées dans de sympathiques paysages 😁
A moi de faire meuh meuh sur ce joli post qui a son comptant, Muriel !
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Coucou Mumu !
Tu leur parles de nous j’espère !
A très bientôt amie 😃
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Bien sûr Damien que je leur parle ainsi ! Hors canicule toutefois, comme actuellement.
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Elles sont magnifiques ! Au grand air, bien nourries, voilà une passionnée berrichonne qu’aime bien les vaches.
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Mais ont-elles le minimum à se mettre sous la dent avec la situation sécheresse et canicule ?
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Nous l’évoquons déjà au passé, et cependant, il n’y a pas si longtemps, où… Je pense que chaque éleveur aura procédé au mieux du bien-être de leurs cheptels en ces périodes particulièrement lourdes de conséquences à gérer.
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Une collection berrichonne unique ! Elles sont magnifiques ! A votre prochaine photo Muriel, souhaitez-leur longue vie de ma part.
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Bonjour et merci, je le ferais, promis 😉 !
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J’aime beaucoup !
Autrefois au printemps jusqu’à l’automne et au tout début de l’hiver, s’étaient les femmes de campagne qui les emmenaient en champs ou prairie pour les faire paître, celles qui allaient nous donner ce bon lait inimitable.
Je suis fils de parents et arrières-parents qui ont faits toute leur vie dans la campagne de l’Indre, Muriel, très près de Vendoeuvres si vous connaissez. Une vie de paysans qui n’a jamais été une corvée dans notre famille, c’était des journées bien remplies et gamin, j’ai rarement entendu mes parents se plaindre de leur condition campagnarde.
J’aimerais vous lire plus souvent pour notre campagne, Muriel, se serait un plaisir pour nous et au passage sur votre site, continuez, nous l’aimons beaucoup votre Berry au coeur de France.
Cordialement de notre part,
la famille. Jeanbignat
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Une bienvenue,
Je dois dire que depuis mon retour, je lis ainsi quelques demandes de visiteurs, des suggestions qui sont naturellement toutes les bienvenues. Juste un peu de temps pour que je puisse les concevoir les unes aux autres et leur trouver une destination thématique heureuse.
Merci pour ce beau partage. Une certaine sincérité à dire comme réponse que je connais peu la commune de Vendœuvres, pour n’y être passée qu’une fois, lors de la visite de l’église, il y a quelques années de cela.
Merci encore pour votre témoignage, et au plaisir.
MA
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